Bonjour.
A l'occasion du changement de concierge (suite au départ en retraite de la précédente au 31/12/2007), des travaux de réfection de l'appart de fonction (quoiqu'en partie loué) et de la loge ont été entamés d'office par le Syndic après avis du CS il y a un mois, en l'attente de l'entrée en fonction de la nouvelle concierge ( ce jour) ; alors même que notre A.G. (de ce soir) est amenée à se prononcer sur lesdits travaux, multiples devis à l'appui. L'entreprise qui a réalisé les travaux ne fait pas même pas partie du panel de devis proposés à l'A.G. (coût ~12000 €)
Fallait-il d'abord demander à l'A.G. son avis ? Une simple réunion avec le C.S. était-elle suffisante, permettant l'intervention de n'importe qui à n'importe quel prix ("Mais Monsieur, c'est La Loi, vous n'avez rien à dire, vous êtes un râleur ...") ?
L'obligation de réfection doit-elle impérativement s'appliquer AVANT la date d'entrée dans les lieux de la nouvelle concierge ou peut-elle s'exercer plus tard, lors de l'exercice courant ?
Ces travaux ne sont pas générés par un événement fortuit ; la date de départ en retraite de la précédente concierge étant connue,
ne fallait-il pas soit avancer la date de l'A.G. de cette année afin qu'en temps utile elle puisse se déterminer (au cas où la majorité des copros se serait prononcé pour le non-maintien du poste de gardien), soit provoquer une A.G.E spécifique, soit même prévoir dès l'année dernière l'inscription à l'ordre du jour de la question ?
Y a-t'il faute de gestion de la part du Syndic à propos de ce si mauvais timing qu'IL ressemble à une mise devant le fait accompli pour les cochons de payants ?
Merci d'avance.
Gérard.
A l'occasion du changement de concierge (suite au départ en retraite de la précédente au 31/12/2007), des travaux de réfection de l'appart de fonction (quoiqu'en partie loué) et de la loge ont été entamés d'office par le Syndic après avis du CS il y a un mois, en l'attente de l'entrée en fonction de la nouvelle concierge ( ce jour) ; alors même que notre A.G. (de ce soir) est amenée à se prononcer sur lesdits travaux, multiples devis à l'appui. L'entreprise qui a réalisé les travaux ne fait pas même pas partie du panel de devis proposés à l'A.G. (coût ~12000 €)
Fallait-il d'abord demander à l'A.G. son avis ? Une simple réunion avec le C.S. était-elle suffisante, permettant l'intervention de n'importe qui à n'importe quel prix ("Mais Monsieur, c'est La Loi, vous n'avez rien à dire, vous êtes un râleur ...") ?
L'obligation de réfection doit-elle impérativement s'appliquer AVANT la date d'entrée dans les lieux de la nouvelle concierge ou peut-elle s'exercer plus tard, lors de l'exercice courant ?
Ces travaux ne sont pas générés par un événement fortuit ; la date de départ en retraite de la précédente concierge étant connue,
ne fallait-il pas soit avancer la date de l'A.G. de cette année afin qu'en temps utile elle puisse se déterminer (au cas où la majorité des copros se serait prononcé pour le non-maintien du poste de gardien), soit provoquer une A.G.E spécifique, soit même prévoir dès l'année dernière l'inscription à l'ordre du jour de la question ?
Y a-t'il faute de gestion de la part du Syndic à propos de ce si mauvais timing qu'IL ressemble à une mise devant le fait accompli pour les cochons de payants ?
Merci d'avance.
Gérard.
Commentaire